Berserk - Paroles EUPHONIK
⭐ Paroles Berserk - EUPHONIK ⭐
Oublie-toi parmi les hommes et sois plutôt comme les autres
Sois plutôt comme les ombres, là où le néant résonne
Tu rêvais de rouler sur l'or mais t'as même pas le permis
Tu te sens seul et berné, abandonné comme Bernie
Comme Kawa en secret, moi j'ai rêvé d'être un bandit
Non je ne suis pas plus fou que celui qui me le dit
Si la violence ne résout rien, c'est que t'as pas tapé assez fort
Celle que tu aimes n'a aucun fond, tu te raccroches à ses formes
Quitte à prendre des risques, autant marcher près du trépas
Si la chance ne sourit pas, c'est qu'elle aussi est triste
J'ai vu l'amour détruire et ce plus qu'il ne répare
Commencer à s'aimer, c'est s'attendre à un départ
Quelques conflits affectifs viendront te bousiller
Une boule dans le gosier quand l'amitié devient fictive
Oublie-toi parmi les hommes et sois plutôt comme les autres
Sois plutôt comme les ombres à ramper au ras du sol
Avec le temps la haine m'a rongé, dans l'oubli j'ai plongé
Aujourd'hui, je n'ai plus peur du danger
Avec le temps j'ai changé, mon cœur est étranger
Qui pourrait l'éponger ? Mourir j'y ai songé
Avec le temps la haine m'a rongé, dans l'oubli j'ai plongé
Aujourd'hui, je n'ai plus peur du danger
Avec le temps j'ai changé, mon cœur est étranger
Qui pourrait l'éponger ? Mourir j'y ai songé
L'impression de manquer d'air, aucune lumière pour les gens simples
Tu sais c'est ma dystopie qui s'écoule de tes enceintes, que les ténèbres les recouvre
Car ici plus rien n'est pur, est-ce la bêtise de l'homme qui placarde les murs ?
Tout me paraît affligeant, de leurs slogans jusqu’aux pubs
J'ai plus de respect pour les putes que pour les hauts dirigeants
Pour une poignée d'argent, combien vendraient leurs âmes ?
Pour une poignée de mains, combien vendraient leurs armes ?
Combien se foutraient en l'air ? Vas-y laisse planer le doute
La liberté d'un homme, dis-moi combien ça coûte ?
Je crois que l'amour est mort au premier coup de foudre
Un entonnoir dans la bouche, on lui déverse un tonneau de foutre
Madame s'en est allé car les plus belles choses se cassent
Autant chercher la fuite à travers une teille de gaz
Retour à la première ligne, oublie-toi parmi les hommes
Et sois plutôt comme les autres, à oublier de vivre
Avec le temps la haine m'a rongé, dans l'oubli j'ai plongé
Aujourd'hui, je n'ai plus peur du danger
Avec le temps j'ai changé, mon cœur est étranger
Qui pourrait l'éponger ? Mourir j'y ai songé
Avec le temps la haine m'a rongé, dans l'oubli j'ai plongé
Aujourd'hui, je n'ai plus peur du danger
Avec le temps j'ai changé, mon cœur est étranger
Qui pourrait l'éponger ? Mourir j'y ai songé
Avec le temps la haine m'a rongé, dans l'oubli j'ai plongé
Aujourd'hui, je n'ai plus peur du danger
Avec le temps j'ai changé, mon cœur est étranger
Qui pourrait l'éponger ? Mourir j'y ai songé
Avec le temps la haine m'a rongé, dans l'oubli j'ai plongé
Aujourd'hui, je n'ai plus peur du danger
Avec le temps j'ai changé, mon cœur est étranger
Qui pourrait l'éponger ? Mourir j'y ai songé