Solitaire - Paroles EUPHONIK
⭐ Paroles Solitaire - EUPHONIK ⭐
Sûr de rien à part de n'être qu'un être à part à pardonner
Car à part donner de mon être je partirai sans rien donner
Avarice sentimentale, triste menteur introverti
Pris de vertige monumental, l'instrumentale me divertit
Quand le moral se décline, tout part de là
Une part de larme car là je te parle de l'art et puis du noir dans mes rétines
La réticence de mes peurs quand les mots s’écartent au large
La renaissance de mon cœur sectionnera mes cartilages
Me faudra-t-il courir sans fin ? Mourir à corps perdu
Pour enfin revivre si près du vide, au pied de l'amertume
La mer tue quand elle m'embarque, pris dans les vagues de ma colère
Sous les pulsions d'un froid polaire, le tonnerre foudroie-t-il ma barque ?
Suis-je vraiment le seul au seuil du mal et du bien ?
Jusqu'à la moelle osseuse moi je ne ressens rien
Sûr de rien à part de n'être qu'un être à part à pardonner
Car à part donner de mon être je partirai sans rien donner
Que serai-je sans la tristesse ? Solitaire je vous regarde
Le cœur brisé et ce qu'il en reste, peut-être que je m’égare
Elle seule pour confidente, elle sait ce qui m'anime
Alors pour elle je manie la rime quand elle est bienfaisante
Que serai-je sans la tristesse ? Solitaire je vous regarde
Le cœur brisé et ce qu'il en reste, peut-être que je m’égare
Elle seule pour confidente, elle sait ce qui m'anime
Alors pour elle je manie la rime quand elle est bienfaisante
Pris dans ses filets sans fond j'ai vu l'amour filer cent fois
Quand tout me paraissait froid j'ai vu mon cœur brûler sans feu
J'aimais tant cette sensation assurément démente
Incertaine attention que toutes mes plaies démentent
Alors parfois je me le demande, est-ce pleinement que je suis vide ?
Suis-je avide de souffrances pour me sentir bêtement vivre ?
Ivre, je me livre, c'est ma seule ouverture
Mais fais comme tous les autres, juge-moi à la couverture
L'humeur grisée, suis-je la risée quand le soleil rit jaune ?
Suis-je bon qu'à mépriser tous les autres qu'il réchauffe ?
Sont-ils restés de glace dès lors que je fondais en larmes ?
Pourquoi toute mon enfance, ont-ils saccagé mon âme ?
Sûr de rien à part de n'être qu'un être à part à pardonner
Car à part donner de mon être je partirai sans rien donner
Sauf par rapport à ceux qui ne ressentent plus
Seul sous un parasol, à contempler la pluie
Que serai-je sans la tristesse ? Solitaire je vous regarde
Le cœur brisé et ce qu'il en reste, peut-être que je m’égare
Elle seule pour confidente, elle sait ce qui m'anime
Alors pour elle je manie la rime quand elle est bienfaisante
Que serai-je sans la tristesse ? Solitaire je vous regarde
Le cœur brisé et ce qu'il en reste, peut-être que je m’égare
Elle seule pour confidente, elle sait ce qui m'anime
Alors pour elle je manie la rime quand elle est bienfaisante